Quand j'ai entendu à la radio que Désir baissait les bras, j'ai pensé que c'était vachard, rapport à Martine Aubry, au moment-même où le P.S est attaqué par la dingue. Aussi, ai-je fait ouf-ouf, quand madame Trintignons, m'a mis les poings sur les ''i'' : c'est pas Marlène (Désir) qu'elle m'a dit, c'est Anouar ! Vu que, moi, d'Anouar Désir, j'ai jamais acheté un seul album. J'aime pas la musique égyptienne.
Un qui baisse pas les bras, en revanche, c'est le Gba-Gbo, ou le Bga-Bgo, en Côte-d'Ivoire. Il a pas envie d'être dégommé, le bougre ! Vous allez dire que je me mêle de ce qui me regarde pas, mais je trouve qu'en Afrique, rien n'a évolué depuis l'époque que Bokassa nous lubrifiait Giscard au gel de marquise. Même si on cherche à nous convaincre du contraire. Toutes les élections se règlent en dansant autour d'un chaudron d'eau bouillante dans lequel d'immondes dictateurs jettent les challengers qui leur ont piqué la majorité des voix. Je serais monsieur Ouate-à-rats, je me ferais du soucis, vu, qu'en plus, la ouate, c'est pas ce qu'il y a de moins absorbant.
Et, là-dessus, Carlito qui annonce qu'il se verrait bien accomplir un deuxième mandat, avant de partir pour un voyage officiel en Dolce-Vita. En voilà un, au moins, qui dissimule pas ses ambitions : un meublé sur le yacht de Vincent Bolloré qu'il espère. De toute façon, à Paris, celui des Hariri est déjà occupé. Et je vois mal Carlita partager les lieux avec Bernadette. Sauf que cette dernière se claquemure dans la pièce jaune. Dans sa sienne qui serait pas sa sienne mais exclusivement sa sienne. À décortiquer, comme l'oeuvre de madame Bruni, si que vous voulez piger !
Et pendant ce temps, qui sera à l'Élysée ? Ségolène, Ségodiche ou Ségodasse ?
Je l'ai toujours dit : j'y serai ! Qu'elle a déclaré, la première dinde de France, hier, à David Pujadas. Mais vous refusez de m'entendre. Pourtant je suis une femme directe et une femme claire, mais vous n'avez jamais su me prende. Au premier ou au second degré, ou entre les deux, monsieur Pujadas, bien que je vous ai souvent renvoyé l'ascenseur ... Quand c'est que je dis que j'ai consulté Dominique et Martine, bien sûr, monsieur Pujadas, que j'ai consulté ... par quel orifice tourné, comme moi vers les françaises et les français, j'allais pouvoir le leur mettre. Parce-que, Monsieur Pujadas, je suis à l'écoute des françaises et des français, moi, que Nicolas Sarkozy piétine avec ses petits souliers, sa politique de goguenots qui écrase les plus pauvres et sa réforme des retraites que je vais réformer dès que j'aurai fini d'enfiler les deux autres. Oui, madame Laurent Ruquier ... pardon ! ... monsieur Pujadas. C'est vrai que nous ne sommes pas à ''On ne s'est pas encore touchés'' ... Donc, oui, monsieur Fabius, vous aussi je vais vous le mettre ... et merde ! ... vous croyez que c'est facile, vous, d'oublier que je passe mes journées à agacer le fion de ces cons de socialistes ? Le P.S, le P.S ! Je te leur en foutrai du Post-Ségolène. Ils s`y voyaient déjà, en haut de la friche, tous ces mégalos !
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