lundi 25 octobre 2010

GEORGES, RAYMOND, CÉLINE ET L'ÉPROUVETTE !

M'en parlez pas ! Télescopage de deux évènements planétaires : avec le décés de Georges Frêche, vlà que je dois rédiger un mot de condoléances pour Raymond Couderc qui se retrouve veuve, et avec la naissance des jumeaux de Céline Dion, vlà que je dois adresser une carte de compliments à son fabricant d'éprouvettes, dont j'ai d'ailleurs perdu l'adresse. Le quotidien est à chier, comme tous les quotidiens, d'ailleurs, sans parler des hebdomadaires et de Télé Z.
J'aimais bien Georges Frêche, ce mec avait plus de panache que sa veuve. Qu'il nous laisse sur les bras, hélas ! Mais que va t-on en faire ? De Miss Zinga-Zanga ? Un concert de plus ? Un concert toujours, allez-vous me dire. Mais dans le cas qui nous occupe, la musique est bien fatiguée !
Céline, elle, pète la forme, par contre ! Les Angelil ont - paraît-il - beaucoup pleuré, si j'en crois la une du Journal de Montreal. Et quand on pleure chez les Angélil, c'est que le pognon va rentrer. Les bébés pèseraient chacun quatre livres, mais on ignore encore comment on va les appeller. D'ici que le papa organise un appel d'offres avec droit d'entrée ...
Bon, on va quand-même pas arrêter de manger pour autant. Je file de ce pas au cimetière de Montpellier avec une provision de Kleenex, des fois qu'en pleurant Raymond tremperait sa chemise, la belle, en patchwork, qu'il ne porte que pour les mises à mort !

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