On est allées sur Farcebouc. Tu connais ? Tu mets une photo (d'une autre, autant que possible), un pseudo (qui fasse un peu retape mais sans aller au bout du sexe tout à fait ... tu restes à la racine), et comme quoi tu cherches des copains et des copines, et là, tu peux passer ta journée à perdre ton temps et à faire perdre du temps à ceux qui te lisent. De l'autre côté du bouc.
C'est ce qu'ils font partout dans les bureaux, les fonctionnaires, depuis qu'on leur a assigné 35 heures pour travailler. Soit 30 de plus qu'il en faudrait au secteur privé pour gâcher exactement la même quantité de papier.
Avant, ils jouaient à bataille navale, mais c'est vrai que ça leur faisait chaque fois plus de feuilles, et qu'il fallait les payer en heures supplémentaires pour vider les corbeilles. À la fin de la journée.
On est donc allées sur Farcebouc et, ne le racontez à personne, on a ouvert une page intitulée Marine Le Pen.
Et bien, je vous le donne en cendre et en mille, on a eu 24 personnes sur 100 qui nous ont carrément déclaré leur amour et les 76 autres qui nous ont proposé de coucher, mais à la condition que ça ne s'ébruite pas.
Dîtes, madame Lulu, qu'elle a insinué, Boniface : vous croyez pas que c'est un sondage grandeur nature, ça ? Surtout quand on a découvert, parmi les auto-sondés, cette ''dame encore jeune, mais un peu forte, de Lille'' qui serait prête à surmonter ses préjugés saphiques pourvu qu'elle soit pas obligée de s'appuyer les problèmes de l'immigration et de l'insécurité en 2012 ... Si vous pouviez faire quelque-chose entre-temps, ça m'arrangerait, qu'elle disait dans son message. Et je reviendrais 2 ans plus tard en vous mettant la gauche dans la rue. Ça m'arrangerait et ça arrangerait aussi, pas mal, des amis à moi qui vivent présentement aux States : les Atroces-Quand ... ou à peu-prês.
Il faut dire qu'on a lu un peu vite, vu l'importance de la demande. Car, en effet, si qu'on aurait été véritablement madame Le Pen, c'est la terre entière qu'on aurait eu dans le plumard, moins les populations subsahariennes évidemment.
On a même eu la proposition d'un type se disant petit mais séduisant, qui nous demandait primo d'emmener sa gonzesse chanter à Lampedusa, vu que ça fait un moment qu'elle lui flanquerait les boules à rabâcher ''Raphaël'' sous son propre toit et de deux si qu'on serait pas intéressée à combler le trou guéant laissé par la mutation d'un de ses proches collaborateurs, vu qu'il ne sait plus à quel saint se vouer dans la perspective de ... 2012, lui ausssi !
Je sais pas ce qu'ils ont tous avec 2012, qu'elle a fini par dire, Boniface, mais faut croire qu'on a pas fini d'en rigoler !
Un espace unique de French-Cancans, où l'actualité sera - pour une fois - dédramatisée et où les célébrités seront taillées comme elles l'auront mérité.
mercredi 16 mars 2011
dimanche 13 mars 2011
EMPLOIS FICTIFS
Vous y croyez, vous, madame Lulu, aux emplois fictifs de la Ville de Paris, qu'elle m'a questionné, madame Xavière Tibet-Ris, qui est parente du Dalaï-Lama par les Tibet et qui pourrait l'être de ce veau de Debré ... par les Ris, évidemment.
Mais avant même que j'ai pu y donner mon avis, Boniface s'est interposée, en déclarant qu'il fallait mettre un peu d'ordre là-dedans et pas seulement dans les municipalités où c'est qu'on faisait passer n'importe quoi pour n'importe quoi, comme le chauffeur black UMP de Marc Blondel pour la secrétaire bilingue blonde socialiste de David Douillet, mais aussi partout ailleurs sous les ors de la république.
Vu qu'il y aurait trop de coulage en haut lieu, qu'elle a insisté. Étant donné qu'elle connaitrait même le cas d'une personne qui serait considérée chanteuse ... au sommet de l'État. Oui, c'est comme je vous le dis, qu'elle a poursuivi : chanteuse ! Chanteuse, mon oeil, oui, comme dirait Le Pen ! Alors qu'elle récite même pas ! Mais en revanche, tout le monde y a vu les roubignolles ... C'est pas un emploi fictif, ça ? Dîtes ! Une apoiliste qu'on y lèche le cul comme si que c'était Monserrat qu'a baillé !
L'emploi fictif, qu'elle a ajouté, ça fait de l'effictif pour rien. Et tu es obligé de le payer en douce, ce qui en fait un emploi furtif. Et tout ce qui est furtif relève du secret des fanses. Tiens, justement, qu'elle a enfoncé le marteau, Boniface, les fanses ... encore un emploi fictif. Rapport que quand on doit lever le secret des fanses, et bien, y en a pas une seule des fanses qui réponde à l'appel. Elles sont là, sur le papier, mais tu peux les chercher dans les bureaux. Surtout aux heures ouvrables.
C'est là que madame Tibet-Ris est intervenue pour y faire remarquer, tout de même, à Boniface, primo que tout ce qui est fictif n'existe que par convention et secundo qu'une convention n'est jamais qu'un accord passé entre des personnes. Moyennant quoi, tu peux en tirer ta conclusion, qu'elle t'y a dit : à ce compte ils sont tous d'accord et y en a pas pour longtemps avant qu'ils nous inventent la convention collective des fictifs. Comme quoi le vieux Blondel il pourra reprendre du service comme secrétaire du syndicat de la fictivité ouvrière.
Avec un chauffeur payé par le Vatican, qu'ell y a rigolé, Boniface, parce-qu'avec la gueule de curé qu'il a, je vois mal que ce soit le Crazy-Horse qui le lui fictive, le chauffeur !
Mais avant même que j'ai pu y donner mon avis, Boniface s'est interposée, en déclarant qu'il fallait mettre un peu d'ordre là-dedans et pas seulement dans les municipalités où c'est qu'on faisait passer n'importe quoi pour n'importe quoi, comme le chauffeur black UMP de Marc Blondel pour la secrétaire bilingue blonde socialiste de David Douillet, mais aussi partout ailleurs sous les ors de la république.
Vu qu'il y aurait trop de coulage en haut lieu, qu'elle a insisté. Étant donné qu'elle connaitrait même le cas d'une personne qui serait considérée chanteuse ... au sommet de l'État. Oui, c'est comme je vous le dis, qu'elle a poursuivi : chanteuse ! Chanteuse, mon oeil, oui, comme dirait Le Pen ! Alors qu'elle récite même pas ! Mais en revanche, tout le monde y a vu les roubignolles ... C'est pas un emploi fictif, ça ? Dîtes ! Une apoiliste qu'on y lèche le cul comme si que c'était Monserrat qu'a baillé !
L'emploi fictif, qu'elle a ajouté, ça fait de l'effictif pour rien. Et tu es obligé de le payer en douce, ce qui en fait un emploi furtif. Et tout ce qui est furtif relève du secret des fanses. Tiens, justement, qu'elle a enfoncé le marteau, Boniface, les fanses ... encore un emploi fictif. Rapport que quand on doit lever le secret des fanses, et bien, y en a pas une seule des fanses qui réponde à l'appel. Elles sont là, sur le papier, mais tu peux les chercher dans les bureaux. Surtout aux heures ouvrables.
C'est là que madame Tibet-Ris est intervenue pour y faire remarquer, tout de même, à Boniface, primo que tout ce qui est fictif n'existe que par convention et secundo qu'une convention n'est jamais qu'un accord passé entre des personnes. Moyennant quoi, tu peux en tirer ta conclusion, qu'elle t'y a dit : à ce compte ils sont tous d'accord et y en a pas pour longtemps avant qu'ils nous inventent la convention collective des fictifs. Comme quoi le vieux Blondel il pourra reprendre du service comme secrétaire du syndicat de la fictivité ouvrière.
Avec un chauffeur payé par le Vatican, qu'ell y a rigolé, Boniface, parce-qu'avec la gueule de curé qu'il a, je vois mal que ce soit le Crazy-Horse qui le lui fictive, le chauffeur !
vendredi 11 mars 2011
TU LYBIEN ?
Tu lybien ? qu'elle m'a questionné, Boniface. Non ! j'ivoirien, que j'y ai répondu, vu que nous étions dans le noir. Et bien, a t-elle ajouté, maintenant, tu as tout compris : la Lybie, c'est l'alibi pour pas s'occuper des ivoiriens, et d'y voir rien, c'est l'alibi pour pas s'occuper des lybiens. C'est ça la diplomatie : plus le diplomate mate, plus il y voit moins, et plus il y voit pas grand chose, plus il peut pas rien faire. Et ainsi de suite. Plus il peut pas rien faire, plus les affaires étranges errent et plus on y voit sombre, pour pas dire qu'on y voit rien dans le fion de tous les africains.
De toute manière, je te le dis, aussi vrai que suis une Boniface Mortimer de Bamako, la politique africaine, elle est à prendre avec un spéculum si tu veux voir clair dans nos affaires intestines. Et encore, je ne te parle pas de nos susceptibilités tribales, vu que tu dois savoir qu'en Afrique, dés que tu t'attaques au sexe, ça prend des proportions considérables. Essaie donc un peu avec monsieur Mortimer, et tu vas voir : c'est pas parce-qu'il serait été deux fois notaire, ou que je serais présentement bègue, que j'y dis maître-maître quand je m'adresse à lui ... c'est rapport à la graduation intrinsèque du bombard qu'il tient de son père ... monsieur Impensable Mortimer, qu'il s'appelait, le vieux !
La diplomatie africaine, vous voyez, madame Lulu, c'est question de longueur. Avant tout. En revanche, vous, les français, vous avez tellement de culture et d'expérience, genre madame Alliot-Marie et monsieur Douste-Blazy, que vous pouvez tout vous permettre, en politique extérieure, illico-pesto, qu'on dirait à Bologne : comme amener vos moutards à Dijon ou ramener la chaux de Pise.
Oui, j'y ai répondu. En effet, madame Sarko, non ... l'autre, la vêtue, elle a bien arraché les bulgares au Khadafi.
Ah, je savais pas qu'elle était allé jusque-là, qu'elle a fait, Boniface. Remarquez, madame Lulu, que c'est pas plus mal : en y ayant arraché les bulgares, il pourra pas se reproduire, le bougre. Dommage qu'il se nomme Mouhammar et pas Conception rapport qu'on aurait pu y dire ''l'émasculé conception'' après le passage de votre diplomatie. Quoique, maintenant, je me demande si c'est pas lui, qui va lui arracher quelque-chose à Sarkozy !
De toute manière, je te le dis, aussi vrai que suis une Boniface Mortimer de Bamako, la politique africaine, elle est à prendre avec un spéculum si tu veux voir clair dans nos affaires intestines. Et encore, je ne te parle pas de nos susceptibilités tribales, vu que tu dois savoir qu'en Afrique, dés que tu t'attaques au sexe, ça prend des proportions considérables. Essaie donc un peu avec monsieur Mortimer, et tu vas voir : c'est pas parce-qu'il serait été deux fois notaire, ou que je serais présentement bègue, que j'y dis maître-maître quand je m'adresse à lui ... c'est rapport à la graduation intrinsèque du bombard qu'il tient de son père ... monsieur Impensable Mortimer, qu'il s'appelait, le vieux !
La diplomatie africaine, vous voyez, madame Lulu, c'est question de longueur. Avant tout. En revanche, vous, les français, vous avez tellement de culture et d'expérience, genre madame Alliot-Marie et monsieur Douste-Blazy, que vous pouvez tout vous permettre, en politique extérieure, illico-pesto, qu'on dirait à Bologne : comme amener vos moutards à Dijon ou ramener la chaux de Pise.
Oui, j'y ai répondu. En effet, madame Sarko, non ... l'autre, la vêtue, elle a bien arraché les bulgares au Khadafi.
Ah, je savais pas qu'elle était allé jusque-là, qu'elle a fait, Boniface. Remarquez, madame Lulu, que c'est pas plus mal : en y ayant arraché les bulgares, il pourra pas se reproduire, le bougre. Dommage qu'il se nomme Mouhammar et pas Conception rapport qu'on aurait pu y dire ''l'émasculé conception'' après le passage de votre diplomatie. Quoique, maintenant, je me demande si c'est pas lui, qui va lui arracher quelque-chose à Sarkozy !
mercredi 9 mars 2011
LA COUPE EST PLEINE
Écoutez, qu'elle nous a interpellées Boniface : la coupe est pleine ! Y en a marre Sarko ! Et y en a marre les autres ! C'est quoi, ça, qu'elle a questionné : tout le monde se mobilise pour cette gonzesse que les mexicains ont pécho en ménage avec une crapule. Qu'elle appelait pas au secours, bien entendu, tant que c'était temps qu'il y faisait reluire la tequila ... mexico, mexico, tu m'as compris ! Et personne il dit rien pour ce que les lybiens ils sont en train de vivre.
Et Gbagbo ... ça vous dit encore quelque-chose ? Parce que faut croire que ça y dit plus rien à monsieur Carla de la Scala de Milan. Au poteau de la Callas mitée, comme il dit, mon copain Marin. Ça fait un moment qu'il en a pas pipé mot, le Sarko, de Gbagbo et de Ouatara.
Alors, tous ces mecs et toutes ces pauvres femmes qui se font tirer dans les rues comme des lapins, ça compterait pour rien ? Pour moins qu'une pastissière qui, elle, se faisait tirer pour le plaisir par Pancho Villa !
Dîtes, vous voulez pas, qu'après, on ait envie de voter pour quelqu'un d'autre, genre une personne qui nous apporterait un peu d'air de la mer. Des vapeurs d'iode ... ben, oui, quoi, des senteurs marines ! Et qu'on les renvoie tous, les UMP et les socialistes, à une date ultérieure, comme le procés Chirac !
Mais on peut pas s'en mêler de tout ça, en Lybie et ailleurs, qu'elle est intervenue Zineb, rapport que ce serait considéré comme du linge rance. Du linge rance dans les affaires d'autrui ... qu'on appelle. Sauf que, dans le cas présent, qu'elle a tenu à préciser, Zineb, l'autrui ne désigne pas la femelle du cochon, mais bel et bien ces salopards qu'on y dit rien, vu qu'on peut rien y dire, rapport à tout ce qu'ils ont à dire. Eux ! Sur nous !
Voyez-vous, quelle a continué, Zineb, si que ça risquerait pas de faire mauvais genre dans le quartier, moi aussi je voterais bien pour mademoiselle Le Pen. Parce que nos gouvernants, y a trop longtemps, maintenant, qu'on y a pas mis le nez dans le linge rance !
Et Gbagbo ... ça vous dit encore quelque-chose ? Parce que faut croire que ça y dit plus rien à monsieur Carla de la Scala de Milan. Au poteau de la Callas mitée, comme il dit, mon copain Marin. Ça fait un moment qu'il en a pas pipé mot, le Sarko, de Gbagbo et de Ouatara.
Alors, tous ces mecs et toutes ces pauvres femmes qui se font tirer dans les rues comme des lapins, ça compterait pour rien ? Pour moins qu'une pastissière qui, elle, se faisait tirer pour le plaisir par Pancho Villa !
Dîtes, vous voulez pas, qu'après, on ait envie de voter pour quelqu'un d'autre, genre une personne qui nous apporterait un peu d'air de la mer. Des vapeurs d'iode ... ben, oui, quoi, des senteurs marines ! Et qu'on les renvoie tous, les UMP et les socialistes, à une date ultérieure, comme le procés Chirac !
Mais on peut pas s'en mêler de tout ça, en Lybie et ailleurs, qu'elle est intervenue Zineb, rapport que ce serait considéré comme du linge rance. Du linge rance dans les affaires d'autrui ... qu'on appelle. Sauf que, dans le cas présent, qu'elle a tenu à préciser, Zineb, l'autrui ne désigne pas la femelle du cochon, mais bel et bien ces salopards qu'on y dit rien, vu qu'on peut rien y dire, rapport à tout ce qu'ils ont à dire. Eux ! Sur nous !
Voyez-vous, quelle a continué, Zineb, si que ça risquerait pas de faire mauvais genre dans le quartier, moi aussi je voterais bien pour mademoiselle Le Pen. Parce que nos gouvernants, y a trop longtemps, maintenant, qu'on y a pas mis le nez dans le linge rance !
lundi 7 mars 2011
PROCÉS DE RAT ... ?
Procés de rat ou procés de rat pas ? That is la question que Niko et Doumé se sont peut-être posée lors de leur récent petit-déjeuner. Au saut du lit. Comme deux amants honteux surpris en flagrant délit de rafistolage ! Deux amants qui n'auraient pas encore franchement recouché ensemble. Mais qui auraient rêvé, réciproquement, pourtant, que l'un encornait l'autre. Là où se termine la susceptibilité publique et où commencent les entrailles privatives de chacun ...
En d'autres thermes, comme aurait dit Caracalla à Rome, the question qui fleurissait sur tous les anus était : finira t-on par juger le meilleur ami des vaches ?
Et pourquoi, z'ont pas invité Balladur, tank à faire, comme on dit à l'armée, qu'elle a fait observer madame Débé. La deuxième. Oui, la deuxième Débé. Et alors ?
Parce que le triolisme sur le dos d'un copain, ça ne se fait pas, qu'elle y a martelé, Boniface, et puis, qu'est-ce-que vous en savez, vous, s'ils ont ou non parlé du sourdingue qui fait des poussées d'Alzheimer à la demande ?
Vu que pari sera toujours pari, je pari qu'en fait, c'est plutôt de la divinité Marine qu'ils ont chatté z'ensemble, qu'elle a suggestionné, Paris, la fille Hiltont. Du toiletteur de chiens.
Parce qu'elle fait un sacré carton, dîtes-moi, la fille à papa ! Pas, pas, comme le fils de Nicolas. La, la, la, la ... qu'elle s'est mise à chantonner, en ajoutant : et si qu'elle était élue en 2012, qui sera le (Raymond) Barre de la Marine ?
Et Boniface t'y a répondu : si que ce sera bien payé, on pourrait peut-être en parler à Jean-Luc Merluchon, rapport qu'il dédaignerait pas cumuler les salaires et les avantages le bougre.
En d'autres thermes, comme aurait dit Caracalla à Rome, the question qui fleurissait sur tous les anus était : finira t-on par juger le meilleur ami des vaches ?
Et pourquoi, z'ont pas invité Balladur, tank à faire, comme on dit à l'armée, qu'elle a fait observer madame Débé. La deuxième. Oui, la deuxième Débé. Et alors ?
Parce que le triolisme sur le dos d'un copain, ça ne se fait pas, qu'elle y a martelé, Boniface, et puis, qu'est-ce-que vous en savez, vous, s'ils ont ou non parlé du sourdingue qui fait des poussées d'Alzheimer à la demande ?
Vu que pari sera toujours pari, je pari qu'en fait, c'est plutôt de la divinité Marine qu'ils ont chatté z'ensemble, qu'elle a suggestionné, Paris, la fille Hiltont. Du toiletteur de chiens.
Parce qu'elle fait un sacré carton, dîtes-moi, la fille à papa ! Pas, pas, comme le fils de Nicolas. La, la, la, la ... qu'elle s'est mise à chantonner, en ajoutant : et si qu'elle était élue en 2012, qui sera le (Raymond) Barre de la Marine ?
Et Boniface t'y a répondu : si que ce sera bien payé, on pourrait peut-être en parler à Jean-Luc Merluchon, rapport qu'il dédaignerait pas cumuler les salaires et les avantages le bougre.
dimanche 6 mars 2011
JAMAIS MIS LES PIEDS À PROUST !
Et d'un, j'aime pas la madeleine, et de deux, j'ai jamais mis les pieds à Proust ... votre truc, qu'elle nous a dit Laetitia Castrat, de sa voix de fausset, c'est comme la banière de Bigorre ou la maladie de Pau, ça existe que dans les guides touristiques, mais si que ça devait passer niveau intellectuel, vous avez pas la tête assez grosse ni assez structurée pour assimiler le contenu métal-physique de ces locutions tribales censément paradoxales et hypnotiques ... Laetitia a précisément fait sciences-Pau, à Tarbes.
Voulez-vous que je vous dise, qu'elle a aussitôt objecté Boniface, Castrat et Salvador Dali, ça fait qu'un ! Question ratiocination de la pensée rectiligne. Quand un parle, l'autre se tait. Et quand l'un se thé, l'autre se café ... qu'elle a cru bon de poursuivre. Alors que ça n'ajoute rien à la compréhension de ce qu'elle a voulu exprimer, vous en conviendrez. Mais Boniface aime les expressions fortes et imagées qui marquent l'auditoire. Sauf qu'elle oublie que plus personne ne sait qui est Salvador Dali. Tandis que Picasso, rapport à la voiture qu'on y a consacrée, son nom est ancré dans la recognition et la remembrance collectives, comme elle dit madame Castrat.
Et elle a ajouté, dans son for extérieur, Laetitia, qu'elle donnait cet exemple de manière que chacun comprenne l'allusion à des stases manifestes d'extravasation élémentaire. En poursuivant : c'est ce que Martine Aubry se tue à leur dire et à leur répéter aux socialistes, concernant la fédération des Bouches-du-Rhône. Circulez ! Y a rien à voir ... C'est que de l'extravasation élémentaire de ce con de Montebourg. D'abord, Guérini n'a jamais existé. Encore moins son frère, par conséquent. Et déjà que naguère, avant-guerre, il n'existait guère, et bien, maintenant, après-guerre, il n'existe guère plus. Et comme dirait fort justement mon médecin : si le guéri nie, pourquoi voudriez-vous que le malade ait avoué ?
Y a pourtant du concret à faire dans ce département, qu'elle s'est interposée Zineb Ben-Foutuh. Comme quoi, déjà, il faut changer son nom pour quelque-chose qui soit plus marketing, vu que Bouches-du-Rhône, ça suggère que ce serait comme la plus forte concentration de dentistes de toute la France.
Justement, qu'elle a saisi la balle au blond, Laetitia, c'est pareil pour Bormes-les-Mimes-Osa. Qui est une insulte permanente à la grand-mère française de plus de cinquante ans et au Mime Bormes lui-même. De deux choses l'une : ou c'est Bormes-le-Mime-Osa, au présent du singulier, ou Bormes-les-Mimes-Osèrent au pluriel du présent du singulier.
Sauf que tu sais pas si ton mime il a ou non un frère qui serait lui-même mime, qu'elle t'y a cloué le bec, Boniface. Comme les Guérini qu'on sait plus s'ils ont respectivement un frère qui serait Guérini lui-même.
Voulez-vous que je vous dise, qu'elle a aussitôt objecté Boniface, Castrat et Salvador Dali, ça fait qu'un ! Question ratiocination de la pensée rectiligne. Quand un parle, l'autre se tait. Et quand l'un se thé, l'autre se café ... qu'elle a cru bon de poursuivre. Alors que ça n'ajoute rien à la compréhension de ce qu'elle a voulu exprimer, vous en conviendrez. Mais Boniface aime les expressions fortes et imagées qui marquent l'auditoire. Sauf qu'elle oublie que plus personne ne sait qui est Salvador Dali. Tandis que Picasso, rapport à la voiture qu'on y a consacrée, son nom est ancré dans la recognition et la remembrance collectives, comme elle dit madame Castrat.
Et elle a ajouté, dans son for extérieur, Laetitia, qu'elle donnait cet exemple de manière que chacun comprenne l'allusion à des stases manifestes d'extravasation élémentaire. En poursuivant : c'est ce que Martine Aubry se tue à leur dire et à leur répéter aux socialistes, concernant la fédération des Bouches-du-Rhône. Circulez ! Y a rien à voir ... C'est que de l'extravasation élémentaire de ce con de Montebourg. D'abord, Guérini n'a jamais existé. Encore moins son frère, par conséquent. Et déjà que naguère, avant-guerre, il n'existait guère, et bien, maintenant, après-guerre, il n'existe guère plus. Et comme dirait fort justement mon médecin : si le guéri nie, pourquoi voudriez-vous que le malade ait avoué ?
Y a pourtant du concret à faire dans ce département, qu'elle s'est interposée Zineb Ben-Foutuh. Comme quoi, déjà, il faut changer son nom pour quelque-chose qui soit plus marketing, vu que Bouches-du-Rhône, ça suggère que ce serait comme la plus forte concentration de dentistes de toute la France.
Justement, qu'elle a saisi la balle au blond, Laetitia, c'est pareil pour Bormes-les-Mimes-Osa. Qui est une insulte permanente à la grand-mère française de plus de cinquante ans et au Mime Bormes lui-même. De deux choses l'une : ou c'est Bormes-le-Mime-Osa, au présent du singulier, ou Bormes-les-Mimes-Osèrent au pluriel du présent du singulier.
Sauf que tu sais pas si ton mime il a ou non un frère qui serait lui-même mime, qu'elle t'y a cloué le bec, Boniface. Comme les Guérini qu'on sait plus s'ils ont respectivement un frère qui serait Guérini lui-même.
vendredi 4 mars 2011
POUR QUI SONNE LE GLALLIANO ?
C'est Carla Gerfeld qui a posé la question : pour qui sonne le glalliano ? Carla est un pur esprit. Pas de ces anneaux qui la tringlent ... au point d'être devenus rexiques : les anneaux rexiques, qu'on appelle.
Oui qu'elle nous a demandé : pour qui sonne le glas ? Et Dominique Estrossecan lui a répondu : pour le caramantran qui y a fait la cagade à Dior ! J'en reviens, justement !
Et comme chez Dior, elle a expliqué, ils ont un gland de fer dans une main de velours, ils t'y font plier bagage au caramantran anglais. Il avait la gueule du condamné, vous savez, madame Lulu. Ce matin. Grand matin. Au sot d'Ulysse, comme diraient les grecs. Pas maquillé. Pas même eu le temps d'enfiler les boucles d'oreilles. La moustache en désordre. Et vous savez pas ce qu'il a répondu quand on y a demandé ses dernières volontés ? Avec son accent rosbif. Je veux aller aux proutd'hommes ... aux proutd'hommes ... vous entendez !
Dîtes qu'elle a suggéré, Carla, vous croyez pas que c'est juste un prétexte, cette histoire d'insulte, pour se débarrasser d'un épouvantail qu'il aurait fallu y verser pas mal d'indemnités de licenciement ?
Parce-que, vous avez vu comme il nous attifait, les femmes : c'était pas vendable. Et les cheveux. Dîtes, comme il nous les voulait ! Et les chaussures ... je pense que c'est dans les glandes qu'il a quelque-chose qui va pas bien ce type. Dans les endocrimes ... la vésicule binaire ou les clapsules surrénales. En tout cas, c'est psychique, c'est sûr ! D'ici qu'il soit bipolaire, avec les manières qu'il fait ! À poil et à sapeurs !
En tout cas, qu'elle a dit Dominique Estrossecan, moi, je suis bien content qu'il dégage, pour laisser la place à un français, parce que si vous regardez bien, la haute-couture française, qu'on dit, tout ça, c'est allemand, anglais, japonais, libanais. Jusque St-Laurent, qui aurait pu être parisien ... et bien, non, il a fallu qu'il soit socialiste !
Oui qu'elle nous a demandé : pour qui sonne le glas ? Et Dominique Estrossecan lui a répondu : pour le caramantran qui y a fait la cagade à Dior ! J'en reviens, justement !
Et comme chez Dior, elle a expliqué, ils ont un gland de fer dans une main de velours, ils t'y font plier bagage au caramantran anglais. Il avait la gueule du condamné, vous savez, madame Lulu. Ce matin. Grand matin. Au sot d'Ulysse, comme diraient les grecs. Pas maquillé. Pas même eu le temps d'enfiler les boucles d'oreilles. La moustache en désordre. Et vous savez pas ce qu'il a répondu quand on y a demandé ses dernières volontés ? Avec son accent rosbif. Je veux aller aux proutd'hommes ... aux proutd'hommes ... vous entendez !
Dîtes qu'elle a suggéré, Carla, vous croyez pas que c'est juste un prétexte, cette histoire d'insulte, pour se débarrasser d'un épouvantail qu'il aurait fallu y verser pas mal d'indemnités de licenciement ?
Parce-que, vous avez vu comme il nous attifait, les femmes : c'était pas vendable. Et les cheveux. Dîtes, comme il nous les voulait ! Et les chaussures ... je pense que c'est dans les glandes qu'il a quelque-chose qui va pas bien ce type. Dans les endocrimes ... la vésicule binaire ou les clapsules surrénales. En tout cas, c'est psychique, c'est sûr ! D'ici qu'il soit bipolaire, avec les manières qu'il fait ! À poil et à sapeurs !
En tout cas, qu'elle a dit Dominique Estrossecan, moi, je suis bien content qu'il dégage, pour laisser la place à un français, parce que si vous regardez bien, la haute-couture française, qu'on dit, tout ça, c'est allemand, anglais, japonais, libanais. Jusque St-Laurent, qui aurait pu être parisien ... et bien, non, il a fallu qu'il soit socialiste !
mercredi 2 mars 2011
J'EN CROIS PAS MES OEUFS !
Pas possible qu'elle hurlait, madame Estrossecan, en brandissant le journal. C'est pas possible ! Quel estomac ! Vous saviez ça, vous, madame Lulu, que la ministre déjà fière étrangère se la pétait tranquilou en Tunisie, pour Noël ? En pleine dictature ! Eh ben, ça, alors ! J'en crois pas mes oeufs !
Toujours en retard d'un quart de siècle, la Estrossecan et son vocabulaire acoustique, mais faut croire en revanche que ses oeufs ont la voix qui porte, vu que je les ai toutes eues autour de moi en cinq minutes, les Boniface, Zineb et compagnie.
Jusque mademoiselle Aline Pourquelrevienne, la sacristine, qui en avait lâché les babouches du père Abdechaïd, le curé, et qui accourait sans avoir refermé la porte de l'église derrière elle. Ce qui constitue une faute professionnelle impardonnable. Parce-que s'il se sauve pour retourner en Algérie, Abdé ... machin, on a plus de curé, rapport à la baisse des vocations en France.
Évidemment qu'on le savait pour la ministre, on y a répondu toutes en choeur, à madame Estrossecan. Même qu'on vous a préparé une devinette, elle y a annoncé, Boniface : c'est-y que vous auriez idée comme quoi ce serait qu'on conjugue ''ministre'' au pluriel ? Et devant son silence, elle y a rigolé : eh, bécasse, t'as qu'à regarder Alliot-Marie ... le pluriel ''d'un ministre'' c'est ''des missionnaires'' ... hi-hi-hi !
Qu'entre parenthèse, a fait aussitôt observer Boniface, à brûle-pourpoint : rapport au silence, vaut mieux être placée devant un de ceux de madame Estrossecan que derrière un pet de mademoiselle Aline. Question pénibilité.
Parce que je sais pas si que vous vous en rendez compte, qu'elle s'y est adressé, à mademoiselle Pourquelrevienne, mais vous devez avoir l'encensoir qui doit avoir comme des problèmes de tirage ou de combustion, à l'instant que je vous parle. Ou c'est que c'est que vous avez pas pris votre comprimé de canard-w.c, ce matin !
Bon, c'est pas tout, qu'elle a fait alors madame Estrossecan : je fonce chez Dior. Parait qu'ils recrutent pour remplacer le caramantran qui t'y a fait la cagade. Ciao ! Je vous raconterai demain !
Toujours en retard d'un quart de siècle, la Estrossecan et son vocabulaire acoustique, mais faut croire en revanche que ses oeufs ont la voix qui porte, vu que je les ai toutes eues autour de moi en cinq minutes, les Boniface, Zineb et compagnie.
Jusque mademoiselle Aline Pourquelrevienne, la sacristine, qui en avait lâché les babouches du père Abdechaïd, le curé, et qui accourait sans avoir refermé la porte de l'église derrière elle. Ce qui constitue une faute professionnelle impardonnable. Parce-que s'il se sauve pour retourner en Algérie, Abdé ... machin, on a plus de curé, rapport à la baisse des vocations en France.
Évidemment qu'on le savait pour la ministre, on y a répondu toutes en choeur, à madame Estrossecan. Même qu'on vous a préparé une devinette, elle y a annoncé, Boniface : c'est-y que vous auriez idée comme quoi ce serait qu'on conjugue ''ministre'' au pluriel ? Et devant son silence, elle y a rigolé : eh, bécasse, t'as qu'à regarder Alliot-Marie ... le pluriel ''d'un ministre'' c'est ''des missionnaires'' ... hi-hi-hi !
Qu'entre parenthèse, a fait aussitôt observer Boniface, à brûle-pourpoint : rapport au silence, vaut mieux être placée devant un de ceux de madame Estrossecan que derrière un pet de mademoiselle Aline. Question pénibilité.
Parce que je sais pas si que vous vous en rendez compte, qu'elle s'y est adressé, à mademoiselle Pourquelrevienne, mais vous devez avoir l'encensoir qui doit avoir comme des problèmes de tirage ou de combustion, à l'instant que je vous parle. Ou c'est que c'est que vous avez pas pris votre comprimé de canard-w.c, ce matin !
Bon, c'est pas tout, qu'elle a fait alors madame Estrossecan : je fonce chez Dior. Parait qu'ils recrutent pour remplacer le caramantran qui t'y a fait la cagade. Ciao ! Je vous raconterai demain !
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