mercredi 27 juillet 2011

AIMER SON BROCHEN COMME SOI-MÊME ...

Voilà pas qu'elle se te m'épanche tout-à-trac, Aline : je ne sais pas ce qu'il m'arrive, mais à chaque fois que je passe devant la photo du Brochen de la Quinquin, j'ai comme la pulsion de vouloir devenir femme de chambre au Sofitel, si des fois qu'il y prendrait une piaule !

Ça te me commence au bout de l'essaim, comme des abeilles qui me démangeraient la poitrine ... ensuite ça te me descend au diaphragme, et j'ai l'impression comme quoi je serais incapable de lui refuser s'il te me demandait, en personne, de déchirer ma carte de ''Chasse, Pèche, Nature et Tradition'' . Ce qui ne serait qu'un pis-salé, si tu me suis bien. Vu que ce type, si tu l'observes attentivement, comme moi, c'est plus un symbole sexuel, qu'un toy politique.

Il se dégage de lui un quelque-chose de spécial ... d'aphrodisiaquement flasque, tu trouves pas, ... et figure-toi que quand j'en ai parlé à mon coiffeur ... tu sais ... mon coiffeur ... ''Peigne Q by Point G'' ... il m'a avoué, qu'au début, Bernadette Chirac, ça y avait fait exactement pareil ...  une perception aphrodisiaquement flasque ! Mais qui a disparu dés que Bernie a sorti le battle-dress ... tu te souviens, bien entendu, de sa tenue camouflée à ''Pièces Jaunes'' ? Ça, par exemple, ça te redresse une vieille !

Et bien, si que le Brochen sortirait le sien, de battle-dress, tu verrais un peu le bonhomme ! Rien que sous la chemisette, déjà, t'as pas manqué de remarquer sa ceinture abdominable ? Bien sûr ... je te connais ... et son expression ... non ? ... t'as pas remarqué l'expression de son visage ? ... Pré-raphaélique ... angélique ... c'est Rafik, même, qu'elle dirait Zineb ! Justement, c'est ça que je cherchais : c'est Rafik qu'il est, cet homme !

Et avec ça, il aurait un tatouage sur l'épaule. Le programme socialiste ... en entier : aboulez le pèze, on va le dépenser ! La suite sur celle de Martine : S.O.S Bruxelles et FMI, on est en train de couler !

Mais ils ne changeront pas, ni l'un ni l'autre. Bourriques ils sont, bourriques ils resteront. Vu que la Quinquin et lui, c'est que de bons vieux sans concessions !

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